Cameroun : Le directeur du journal La Nouvelle presse enlevé jeudi à Yaoundé: Réaction du SNJC

Le SNJC réitère sa demande de libération immédiate du directeur de publication de La Nouvelle Presse. La Nouvelle Presse, Mutations, Le Front… confirment l’enlèvement de Jacques Blaise Mvié, Directeur de publication de l’hebdomadaire Camerounais La Nouvelle Presse. L’intégralité d’un communiqué du SNJC reçu hier soir.

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Comments

[dinho]

bonjour DP

je suis journaliste à Mbouda et je voudrais si vous le voulez etre votre correspondant dans cette region du pays si vous le désirez 674483649

[bande]

la justice doit passer , ceux deux informateurs « journalistes » sont des vrais coupables et complices de la désinformations au Cameroun, particulièrement le nommé MVIE BLAISE

[bande]

Jacques Blaise Mvié c'est grand bandit,c'est lui qui fait a.cert.pers.au CAMEROUN.pourqoui peut il se plaindre?

[astérix]

Ce problème est que je ne comprends plus rien aux décisions politiques.
Voilà, je pars de l'art.5 de 1789:"la loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société". Ce texte semble logique compréhensible et de bon sens: on n'a pas le droit de faire quelque chose contre la société. Je l'ai compris comme ça pendant des lustres; mais l'année dernière, commençant à douter de moi, j'ai écrit aux "hommes de lois" (conseil Constitutionnel et Conseil d'Etat) pour leur demander de définir le mot "défendre" Est-ce qu'il signifie protéger ou interdire? Et le mot "société" Est-ce la société civile ou la société commerciale? Je n'ai jamais eu de réponse.
Ce matin, j'apprends qu'une loi va obliger tous les résidents à avoir leur empreinte digitale sur leur carte d'identité, en Italie. Alors là, je dis "Stop". De quel droit les Etats s'approprient-ils les êtres humains?
Nous les avons tolérer (les Etats ou les "qui se croient supérieurs")mais j'estime qu'ils ne servent à rien. Les hommes politiques ne sont pas en mesure de gérer ni de voir l'ensemble des problèmes qui se pose à la planète. Non seulement les gouvernants ne travaillent que pour le bénéfice de quelques uns, mais actuellement ils veulent soumettre la liberté des citoyens à leur interprétation. Et c'est une interprétation très restreinte puisque ce n'est qu'en fonction de leur idéologie économique. Et comment usent-ils de notre bonne volonté? en disant qu'ils ont la loi pour eux. (mais je rappelle qu'ils ne sont même pas capables de me répondre quand je leur pose la question " Comment dois-je comprendre la loi?")
Depuis 2 jours, j'apprends que
Médecins sans frontière doit rembourser à la Hollande la rançon que l'Etat à du payer pour un de ses médecins pris en otage au Daghestan
La Colombie a utilisé le sigle de la Croix Rouge pour faire croire aux Farcs que c'était une mission humanitaire.
Autrement dit tout ce que la société civile a imaginé pour venir en aide aux vivants est détourné au profit ou pour l'intérêt des Etats. Bien sûr je suis heureuse de savoir qu'Ingrid Bétancour soit libre. Mais je ne tolère plus les mensonges, les impostures, l'hypocrisie, la violence institutionnelle (l'argent est pour moi une violence institutionnelle puisqu'il prend l'être humain en otage). J'avais bien suggéré que l'on supprime l'argent pour faire face aux problèmes écologiques et de faim dans le monde. Je croyais que les Etats étaient responsables de leur population. Mais avec le comportement de l'Italie, de la Hollande et du Vénézuéla, j'affirme que nous ne nous comportons pas mieux que les Américains en Irak ou l'Otan en Afghanistan.
J'avais déjà demandé au juge des nationalités de me rayer de la nationalité française du temps de Raffarin parce que déjà à cette époque j'avais honte des gouvernants français qui ne respectent pas notre devise. Je n'ai rien trouvé de plus haut comme valeur que "liberté, égalité, fraternité". Si vous savez comment me consoler, je vous en serai reconnaissante.
En fait je prends conscience que je vais me montrer sans pitié pour tout ce qui est identitaire, statutaire, limitatif, violent (par abus de langage). Chaque vivant a vocation à la liberté et ce ne sont pas les structures tierces qui s'interposeront à cette exigence du vivant.